Coupable2
COUPABLE 2
-Témoin suivant, cria l'huissier.
Le témoin apparut. Il ressemblait à un livre très familier, avec une couverture
Noire et des tranches dorées. Comme le personnage se tournait, je vis le nom
Du propriétaire inscrit dessus : mon nom ! vite, je mis ma main dans ma poche :
Mon livre avait disparu ! et le voilà devant moi !
Le dialogue entre le juge et le témoin commença.
- Votre nom ?
- La parole de Dieu.
- Depuis quand appartenez-vous à l'accusé ?
- Depuis qu,il sait lire, monsieur le juge.
- A-t-il pris le temps de s'entretenir avec vous ?
- Quelquefois, mais pas très souvent dernièrement.
- Lui avez-vous bien transmis votre message ?
- J'ai fait de mon mieux. Je lui ai souvent adressé des avertissements.
- Mais a-t-il compris votre message ?
- Il se vante de savoir de nombreux versets par coeur..
- Vous a-t-il pris au sérieux ?
- J'ai bien peur que non, monsieur le juge, car il continué à agir et vivre de la
Même manière.
-Pourquoi ?
-Il a choisi ce chemin parce qu'il disait que ça n'avait pas d'importance
La salle sembla s'assombrir. Je me mis à trembler de plus belle.
Un bruit semblable a un roulement de tam-tam emplit la pièce.
Le dernier témoin arrivait, cette fois, c'était une femme au pagne et au foulard
Fleuris. Elle avait un collier d'étoiles brillantes autour du cou et des boucles
D'oreilles en forme de soleil, a ses pieds se trouvais une corbeille remplie
De fruits et d'ignames. Elle dit se nommer madame nature..
-Avez-vous eu beaucoup de contact avec l'accusé ?
-Oh oui ! depuis qu'il est au monde je l'environne de toutes parts.
Il me voit et ma présence lui parle du Créateur. Il en est ainsi chaque fois qu'il
Contemple étoiles , fleurs, arbres couverts de fleurs ou champs de maïs. Il me
Connaît donc fort bien.
-Lui avez-vous enseigné cette loi qu'il a transgressée ?
-Oui, monsieur le juge. Tout mon domaine lui a toujours parlé du grand législateur ?
-A-t-il montré du respect pour la loi ? ne craignait-il pas de la transgresser ?
-Apparemment non, monsieur le juge.. Voyez-vous, il n'a pas appris à craindre Dieu.
-Merci, ce sera tout. Quelqu'un a-t-il quelque chose à dire pour la défense de l'accusé ?
Silence complet. Personne pour m'aider et pas moyen de fuir.
-Et vous, avez-vous quelque chose à dire ?
-Je je.. je.., c'est tout ce que je pus dire.
Alors le juge se leva et dit :
-Vous avez transgressé la loi. Ce que vous saviez de Dieu par la nature, votre conscience
et la parole, vous avez négligé de le mettre en pratique. En face des témoignages
apporté aujourd Hui, je vous déclare COUPABLE !
Après avoir entendu ce mot terrifiant, de redoutable ténèbres m'assaillirent.
Je revis le film de tout mon passé. Je me rendis alors compte qu'a côté des
Accusations portées contre moi, il y avait encore beaucoup d'autres choses
Dont j'était coupable et qui étaient passées sous silence. J'était coupable pour
Chacun de mes actes. J'avais désobéi à une partie de la loi, donc à toute la loi.
Je voulus supplier, pleurer, crier, mais aucun son ne sortait de ma bouche.
Hélas, il avait raison, je n'avais pas pris les avertissements des témoins au sérieux.
L'Homme au visage de pierre continua :
-Voici la sentence : « LE SALAIRE DU PECHE , C'EST LA MORT, CAR
L' ÂME QUI PECHE MOURRA ».
Il y eut un craquement de tonnerre et le nuage noir s'abattit sur moi,
Symbole de la colère de Dieu envers le péché.
-Perdu ! Je suis perdu ! pitié ! m'écriai-je. Et il me sembla que le sol s'entrouvrait
et que je m'enfonçais doucement.
A SUIVRE....
-Témoin suivant, cria l'huissier.
Le témoin apparut. Il ressemblait à un livre très familier, avec une couverture
Noire et des tranches dorées. Comme le personnage se tournait, je vis le nom
Du propriétaire inscrit dessus : mon nom ! vite, je mis ma main dans ma poche :
Mon livre avait disparu ! et le voilà devant moi !
Le dialogue entre le juge et le témoin commença.
- Votre nom ?
- La parole de Dieu.
- Depuis quand appartenez-vous à l'accusé ?
- Depuis qu,il sait lire, monsieur le juge.
- A-t-il pris le temps de s'entretenir avec vous ?
- Quelquefois, mais pas très souvent dernièrement.
- Lui avez-vous bien transmis votre message ?
- J'ai fait de mon mieux. Je lui ai souvent adressé des avertissements.
- Mais a-t-il compris votre message ?
- Il se vante de savoir de nombreux versets par coeur..
- Vous a-t-il pris au sérieux ?
- J'ai bien peur que non, monsieur le juge, car il continué à agir et vivre de la
Même manière.
-Pourquoi ?
-Il a choisi ce chemin parce qu'il disait que ça n'avait pas d'importance
La salle sembla s'assombrir. Je me mis à trembler de plus belle.
Un bruit semblable a un roulement de tam-tam emplit la pièce.
Le dernier témoin arrivait, cette fois, c'était une femme au pagne et au foulard
Fleuris. Elle avait un collier d'étoiles brillantes autour du cou et des boucles
D'oreilles en forme de soleil, a ses pieds se trouvais une corbeille remplie
De fruits et d'ignames. Elle dit se nommer madame nature..
-Avez-vous eu beaucoup de contact avec l'accusé ?
-Oh oui ! depuis qu'il est au monde je l'environne de toutes parts.
Il me voit et ma présence lui parle du Créateur. Il en est ainsi chaque fois qu'il
Contemple étoiles , fleurs, arbres couverts de fleurs ou champs de maïs. Il me
Connaît donc fort bien.
-Lui avez-vous enseigné cette loi qu'il a transgressée ?
-Oui, monsieur le juge. Tout mon domaine lui a toujours parlé du grand législateur ?
-A-t-il montré du respect pour la loi ? ne craignait-il pas de la transgresser ?
-Apparemment non, monsieur le juge.. Voyez-vous, il n'a pas appris à craindre Dieu.
-Merci, ce sera tout. Quelqu'un a-t-il quelque chose à dire pour la défense de l'accusé ?
Silence complet. Personne pour m'aider et pas moyen de fuir.
-Et vous, avez-vous quelque chose à dire ?
-Je je.. je.., c'est tout ce que je pus dire.
Alors le juge se leva et dit :
-Vous avez transgressé la loi. Ce que vous saviez de Dieu par la nature, votre conscience
et la parole, vous avez négligé de le mettre en pratique. En face des témoignages
apporté aujourd Hui, je vous déclare COUPABLE !
Après avoir entendu ce mot terrifiant, de redoutable ténèbres m'assaillirent.
Je revis le film de tout mon passé. Je me rendis alors compte qu'a côté des
Accusations portées contre moi, il y avait encore beaucoup d'autres choses
Dont j'était coupable et qui étaient passées sous silence. J'était coupable pour
Chacun de mes actes. J'avais désobéi à une partie de la loi, donc à toute la loi.
Je voulus supplier, pleurer, crier, mais aucun son ne sortait de ma bouche.
Hélas, il avait raison, je n'avais pas pris les avertissements des témoins au sérieux.
L'Homme au visage de pierre continua :
-Voici la sentence : « LE SALAIRE DU PECHE , C'EST LA MORT, CAR
L' ÂME QUI PECHE MOURRA ».
Il y eut un craquement de tonnerre et le nuage noir s'abattit sur moi,
Symbole de la colère de Dieu envers le péché.
-Perdu ! Je suis perdu ! pitié ! m'écriai-je. Et il me sembla que le sol s'entrouvrait
et que je m'enfonçais doucement.
A SUIVRE....
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