Coupable1
COUPABLE
Je m'appelle Atitsu koffi victor. Jusqu'à hier, je vivais comme tout le monde.
Je travaillais pour gagner de l'argent. J'en voulais toujours plus, et n'en avait jamais
Assez. Je vivais à l'aise dans ma solide maison, et avait beaucoup de parents et D'amis. Tout allait pour le mieux.
Mais la nuit dernière arriva une chose qui a changé toute ma vie. J'en tremble
Encore. Jamais plus je ne serai le même homme !
Avant de me coucher, j'avais lu quelques pages d'un petit livre appelé l'Epître
Aux Romains. J'avais déjà lu les trois premières chapitres lorsque je me rendis
Compte que le reste de la famille dormait, j'éteignis donc la lampe et allai me
Coucher.
Je m'endormis aussitôt, et me mis à rêver. Probablement, ma lecture y était
Pour quelque chose.
Je me vis debout dans une grande salle, en face d'une immense foule. La salle
Ressemblait à un tribunal, et sur une imposante chaise, comme le trône des chefs,
Le juge était assis. Autour de lui était une grande lumière venue je ne sais d'où.
Elle était si brillante qu'elle me fit mal aux yeux, et je ne pus distinguer le juge
Clairement.
Tout à coup, je remarquai que tout le monde me regardait !le juge, lui-même
Me regardait. Dans le rêve, je sentais mes mains trembler, et de grosses gouttes
De sueurs couvrir mon front ; je les essuyai avec mon mouchoir.
Pourquoi était-ils tous silencieux et avaient-ils tous les yeux fixés sur moi ?
Finalement, le juge parla : "Que l'accusé s'avance ! " de nouveau, un grand
Silence remplit la salle, je regardai autour de moi : personne ne bougeait.
Il me fallut quelques minutes pour réaliser que l'accusé, c'était moi..
Mais que me voulaient-ils donc ? oh, quelle chaleur ! Et cette lumière
Qui m'aveuglait & je trouvai enfin mon chemin vers le banc des accusés.
-Etes-vous Atitsu koffi Victor ? demanda le juge d'une voix de tonnerre.
Je le suis.
-De quoi est-il accusé ? demanda le juge à quelqu'un d'autre.
Accusé, moi ? ai-je bien entendu que j'étais accusé ? en réfléchissant, je ne me
Trouvais coupable d rien du tout.. Je savais seulement qu'au fond de moi-
Même alternait vivement des sentiments de peur, de honte et de peur grandissante.
Une voix forte dit :
-Il a transgressé la loi !
Je me retournai pour voir la personne qui avait parlé, elle ne ressemblait pas
A un être humain ordinaire, son visage était dur comme la pierre et son regard
Implacable. Chose étrange, elle tenait dans ses bras deux grandes pages d'écritures curieusement gravées sur des pierres. Etait-ce la lumière qui me troublait les yeux ?
-Vous avez entendu l'accusation ? reprit le juge. Plaidez-vous coupable ou non coupable ?
-Je Euh ! je ne sais pas,bégayai-je.
-Retournez à votre place. Qu'on fasse venir les témoins. Un homme s'avança, il me
ressemblait beaucoup, mais, fait bizarre, il était transparent ! je pensais que ce devait
être mon ombre. Mais lorsque l'homme au visage de pierre lui demanda son nom, il répondit :
-Je m'appelle conscience, monsieur le juge.
-Depuis quand connaissez-vous l'accusé ?
-Depuis son enfance, dit conscience.
-L'avez-vous toujours accompagné fidèlement ?
-Oui, monsieur le juge, je l'ai suivi partout, lui ai parlé tout le temps, mais il ne
voulait pas m'écouter.
-Savait-il que s'il suivait vos avis il ne transgresserait pas la loi ?
-J'en suis sûr, répondit conscience, il en était très heureux et me remerciait
secrètement.
-A-t-il fait du mal à son prochain volontairement ?
-Oh, oui souvent. Sa langue était comme du poison, ce poison a fait perdre
la réputation de beaucoup.
-A-t-il déshonoré le nom de Dieu ? demanda le juge.
-Souvent, monsieur le juge. Sa bouche est pleine de malédiction, et si quelque chose ne va pas, elle est pleine de plaintes et de mots amers.
Ces paroles résonnaient comme un marteau à mes oreilles.
C 'était vrai, ce que conscience disait, mais, en la prononçant, je ne me suis pas
Rendu compte que mes paroles étaient aussi mauvaises. Ce que je
Pensais et disait ne me semblait pas si important alors..
Mes propres paroles allaient-elles me condamner ?Allaient-elles occasionner
Ma mort ? la lumière autour du siège du juge se faisait plus éclatante tandis
Qu'au-dessus de ce éclat de lumière, un nuage noir semblait cheminer vers
Moi pour me couvrir. Il se rapprochait de plus en plus de moi.
-Témoin suivant, cria l'huissier.
Le témoin apparut.
A SUIVRE..
Je m'appelle Atitsu koffi victor. Jusqu'à hier, je vivais comme tout le monde.
Je travaillais pour gagner de l'argent. J'en voulais toujours plus, et n'en avait jamais
Assez. Je vivais à l'aise dans ma solide maison, et avait beaucoup de parents et D'amis. Tout allait pour le mieux.
Mais la nuit dernière arriva une chose qui a changé toute ma vie. J'en tremble
Encore. Jamais plus je ne serai le même homme !
Avant de me coucher, j'avais lu quelques pages d'un petit livre appelé l'Epître
Aux Romains. J'avais déjà lu les trois premières chapitres lorsque je me rendis
Compte que le reste de la famille dormait, j'éteignis donc la lampe et allai me
Coucher.
Je m'endormis aussitôt, et me mis à rêver. Probablement, ma lecture y était
Pour quelque chose.
Je me vis debout dans une grande salle, en face d'une immense foule. La salle
Ressemblait à un tribunal, et sur une imposante chaise, comme le trône des chefs,
Le juge était assis. Autour de lui était une grande lumière venue je ne sais d'où.
Elle était si brillante qu'elle me fit mal aux yeux, et je ne pus distinguer le juge
Clairement.
Tout à coup, je remarquai que tout le monde me regardait !le juge, lui-même
Me regardait. Dans le rêve, je sentais mes mains trembler, et de grosses gouttes
De sueurs couvrir mon front ; je les essuyai avec mon mouchoir.
Pourquoi était-ils tous silencieux et avaient-ils tous les yeux fixés sur moi ?
Finalement, le juge parla : "Que l'accusé s'avance ! " de nouveau, un grand
Silence remplit la salle, je regardai autour de moi : personne ne bougeait.
Il me fallut quelques minutes pour réaliser que l'accusé, c'était moi..
Mais que me voulaient-ils donc ? oh, quelle chaleur ! Et cette lumière
Qui m'aveuglait & je trouvai enfin mon chemin vers le banc des accusés.
-Etes-vous Atitsu koffi Victor ? demanda le juge d'une voix de tonnerre.
Je le suis.
-De quoi est-il accusé ? demanda le juge à quelqu'un d'autre.
Accusé, moi ? ai-je bien entendu que j'étais accusé ? en réfléchissant, je ne me
Trouvais coupable d rien du tout.. Je savais seulement qu'au fond de moi-
Même alternait vivement des sentiments de peur, de honte et de peur grandissante.
Une voix forte dit :
-Il a transgressé la loi !
Je me retournai pour voir la personne qui avait parlé, elle ne ressemblait pas
A un être humain ordinaire, son visage était dur comme la pierre et son regard
Implacable. Chose étrange, elle tenait dans ses bras deux grandes pages d'écritures curieusement gravées sur des pierres. Etait-ce la lumière qui me troublait les yeux ?
-Vous avez entendu l'accusation ? reprit le juge. Plaidez-vous coupable ou non coupable ?
-Je Euh ! je ne sais pas,bégayai-je.
-Retournez à votre place. Qu'on fasse venir les témoins. Un homme s'avança, il me
ressemblait beaucoup, mais, fait bizarre, il était transparent ! je pensais que ce devait
être mon ombre. Mais lorsque l'homme au visage de pierre lui demanda son nom, il répondit :
-Je m'appelle conscience, monsieur le juge.
-Depuis quand connaissez-vous l'accusé ?
-Depuis son enfance, dit conscience.
-L'avez-vous toujours accompagné fidèlement ?
-Oui, monsieur le juge, je l'ai suivi partout, lui ai parlé tout le temps, mais il ne
voulait pas m'écouter.
-Savait-il que s'il suivait vos avis il ne transgresserait pas la loi ?
-J'en suis sûr, répondit conscience, il en était très heureux et me remerciait
secrètement.
-A-t-il fait du mal à son prochain volontairement ?
-Oh, oui souvent. Sa langue était comme du poison, ce poison a fait perdre
la réputation de beaucoup.
-A-t-il déshonoré le nom de Dieu ? demanda le juge.
-Souvent, monsieur le juge. Sa bouche est pleine de malédiction, et si quelque chose ne va pas, elle est pleine de plaintes et de mots amers.
Ces paroles résonnaient comme un marteau à mes oreilles.
C 'était vrai, ce que conscience disait, mais, en la prononçant, je ne me suis pas
Rendu compte que mes paroles étaient aussi mauvaises. Ce que je
Pensais et disait ne me semblait pas si important alors..
Mes propres paroles allaient-elles me condamner ?Allaient-elles occasionner
Ma mort ? la lumière autour du siège du juge se faisait plus éclatante tandis
Qu'au-dessus de ce éclat de lumière, un nuage noir semblait cheminer vers
Moi pour me couvrir. Il se rapprochait de plus en plus de moi.
-Témoin suivant, cria l'huissier.
Le témoin apparut.
A SUIVRE..
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