FRAICHE-ROSEE

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LE PECHE COMME DE LA SUCRRIE



LE PECHE COMME DE LA SUCRERIE
 
TELLE UNE SUCRERIE TENDUE A UN ENFANT, LE PECHE OFFRE A CELUI QUI S’Y A DONNE L’IMPRESSION QU’IL AURA UNE VIE MEILLEURE.
LE PECHE SE PRESENTE PRESQUE TOUJOURS COMME ETANT UNE VOIE BONNE POUR TOI.
 
Il peut donner une apparence de plaisir ou de satisfaction - soit immédiate, soit à plus long terme. Quel que soit le domaine d’exercice de ce plaisir, il se présente le plus souvent sous la forme de quelque chose d’attirant, rarement sous celle d’un sacrifice à consentir.
Le péché se plaît à activer les ressorts de l’égoïsme, promettant la satisfaction de désirs personnels. Mais paradoxalement, il peut aussi se loger dans des actions considérées comme altruistes.
Le péché a une propension certaine à distordre la vérité, à n’en montrer qu’une partie. Et en particulier, il est expert dans l’art de faire passer pour bon quelque chose qui causera plus tard du trouble, de la tristesse, de l’amertume, de la douleur ou du conflit.
Le péché aime promettre la liberté. Mais il n’est qu’une liberté de façade. La vraie liberté est éternelle. Le péché ne propose qu’une liberté de pacotille, éphémère et limitée.
Le péché donne l’illusion du pouvoir et de la domination. Il laisse croire que l’individu est au contrôle. Mais il l’enferme dans une spirale asservissante de laquelle il ne peut sortir qu’en déposant les armes devant plus grand que lui.
Telle une sucrerie tendue à un enfant, le péché offre à celui qui s’y adonne l’impression qu’il aura une vie meilleure.
Et il est prêt à la lui donner.
Pour un temps seulement.
 
CAR LE PECHE N’EST PAS GRATUIT.
 
VIENT UN MOMENT OU IL PRESENTE LA FACTURE.
 
ET CELLE –CI EST TOUJOURS, TOUJOURS SALEE, AMERE ET ACIDE.
 
(La pensée de mon ami P. Portoukalian)
 
 


25/04/2024
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